Dans deux mois, les électrices et électeurs glisseront dans l’urne le nom des candidates et candidats qui devront, pour les quatre prochaines années, répondre aux préoccupations de la population suisse.

Chacune et chacun aura dès lors à cœur de composer une liste aussi proche de ses convictions. Ou, parfois, on cochera le nom d’une personne que l’on connaît personnellement, qui ne figure pas sur le ticket partisan, mais qui semblerait apte à remplir les conditions indispensables pour la future mission.

Il n’y a pas de gentils ou de méchants en politique. Il y a des adversaires. Il y a une vision de la chose publique que l’on représente, ou une vision que l’on ne partage pas.

Il y a le néo libéralisme économique qui fait des ravages depuis des décennies, qui prétend défendre la liberté et qui fracasse des milliers de personnes. La loi du marché, sans foi ni loi, le profit pour les uns, la peine pour les autres.

Il y a le néo nationalisme, grand défenseur du capitalisme, qui joue sur la division de la population, les uns contre les autres, en désignant systématiquement les migrants coupables, étrangers qu’ils exploitent pourtant allégrement.

Il y a les ni oui ni non, d’un centre mou, qui s’allient tantôt ici tantôt là-bas, et qui siègent dans de multiples conseils d’administration, l’air de rien. Affairistes, opportunistes, conservateurs mai pas trop, libéraux juste ce qu’il faut…

Il y a des alliés, écologistes, à qui il est parfois compliqué d’expliquer que l’écologie ne se fera pas sans une véritable solidarité sociale, sans taxes qui écrasent les plus vulnérables et la classe moyenne. Parce que le pouvoir d’achat et le montant qui reste dans le porte-monnaie une fois les factures payées sont sources d’angoisse pour de nombreuses personnes, c’est là aussi une question de survie…

Et, il y a le Parti socialiste. Personne ici ne parle d’idéologie, il s’agit simplement de pragmatisme et d’intérêt général.  Chaque voix acquise au PS garantira un meilleur partage des richesses. Une plus grande solidarité sociale, intergénérationnelle, la protection des acquis sociaux, la lutte contre les discriminions économiques, l’égalité, et une politique environnementale tournée vers le progrès social.

Certes, on n’est pas toujours d’accord sur tout. Les sujets de société sont sensibles et provoquent chez chacune et chacun de nombreuses interrogations. Le débat est souhaitable, à l’interne aussi, dans les limites du respect et de la courtoisie.

Le PSVr présentera 20 candidates et 15 candidats sur différentes listes. Le choix est grand. Nul besoin d’aller chercher ailleurs ce qu’il y a déjà chez nous !

 

Conseil d’Etat :

Aferdita Bogiqi

Conseil national :

Liste principale n° 3

Liste PS 60 + Valais romand n° 14

Liste des jeunesses socialistes de Sierre et région n°19

Liste des jeunesses socialistes de Sion et n° 20

Liste des jeunesses socialistes de Martigny et région n°21

Liste des jeunesses socialistes du Chablais n°22

Liste PS femmes Valais romand n°23

 

Barbara Lanthemann, rédactrice en cheffe